Etat civil :
Nom : Statamko
Prénom : Ivane
Sexe : Homme
Âge : 35 ans
Nationalité : Chernorusse
Profession : Cascadeur/doubleur
 
Caractère :
-          Enthousiaste
-          Optimiste
-          Impulsif
-          Passionné
-          égocentrique
-          égoïste
 
Alignement : Loyal Mauvais
 
Biographie :

Les Statamko sont une famille aux revenues modestes originaires de la banlieue de Chernogorsk. Le père fut emprisonné de nombreuses années pour ses prises de positions contre le parti communiste, avant l’indépendance du pays. A la dislocation de l’ex-URRSS en 1991, il est libéré et milite activement pour ses idéaux nationalistes, il est à l’origine de la création de plusieurs micro-partis nationalistes au fil des ans, et finit par adhérer au NAPA lors de sa création. De son coté, la mère de famille lutte quotidiennement pour élever ses enfants seule jusqu’en 1991, mais ne parviendra pas à éviter à la famille plusieurs drames. Quand son mari est libérer, ils s’installent dans un petit village au centre de Chernarus.
 
Ivane est le petit dernier de sa fratrie, et compte trois frères ainés. A l’emprisonnement de leur père, les enfants sont livrés à eux même, la mère enchainant les emplois précaires pour subvenir aux besoins de la famille. En 1987, deux de ses frères ainés meurent lors d’un règlement de compte entre deux bandes rivales, et l’année suivante son dernier frère décède d’une pneumonie. A la libération de son père, la famille déménage dans la campagne Chernorus. Ivane manque beaucoup l’école, son père préférant l’emmener avec lui à son travail et dans ses différentes réunions idéologique. Ivane, en grandissant, supporte de moins en moins sa situation sociale et les discours enflammés de son père. Et a sa majorité, il décide de tout quitter et rejoins les états-unis, grâce notamment au vol et à la revente de la voiture familiale.
 
C’est une nouvelle page qui se tourne pour Ivane, L’american way of life. Son visa expire rapidement et il se retrouve sans papiers et sans abris à Los Angeles. Il passe quelques années à vivre de mendicité et de la charité dans les quartiers pouilleux de L.A., puis un beau matin, juste après sa toilette mensuel au centre social du quartier, il est repéré par un producteur de cinéma, qui lui propose une fortune –par rapport à sa situation– pour tourner quelques scènes dans un studio de cinéma à Hollywood. Il s’avère que la doublure  de la star du film est portée pâle depuis plusieurs jours, et Ivane présente de grandes ressemblances avec ce dernier. Après quelques semaines de tournage, sa paie en poche, Ivane quitte les studio et est rapidement arrêter par l’immigration, les producteurs du film ayant été obligé de le créditer et donc de le déclarer auprès des administration du pays. Il est reconduit rapidement en Chernarus.
 
Nous sommes à la fin de l’année 2008, et Ivane retourne vivre chez ses parents, leur remboursant une partie de son larcin grâce à son précédent emploi. Son père n’a pas le temps de lui faire de reproche, la guerre civile éclate et son rôle au sein de NAPA ne lui en laisse pas l’occasion. Ivane, sans passion réelle, rejoins son père au combat et participe ainsi activement à la guerre civile. Sa radicalisation apparait en 2010, quand son père meurt sous ses yeux lors d’une attaque Chedakis. Le film n’était même pas encore sorti… Son père n’avait pas eu le temps d’être fier de lui. Sa mère meurt quelques mois plus tard lors d’un raid du Red Star, enfonçant encore un peu plus son extrémiste nationaliste tout récent. Finalement, la guerre civile se termine, Ivane retourne à la maison familiale, partiellement détruite, et commence à la reconstruire. Son film finit par sortir en salle, et il emmène tout ses proches à la projection. Lors du générique de fin de Killer Elite, la salle tout entière pousse un cri en voyant Statamko créditer en tout petit. Les années passent, Ivane est toujours actif au sein du NAPA, qui reste sa seule famille dorénavant.
 
Puis le virus arrive. Il vit l’infection seul dans un premier temps, allant de villes en villes, de villages en villages, pour y trouver de la nourriture ou de l’eau. Il évite les groupes, et même tout les survivants, il a trop vu de situations tourner au vinaigre. Finalement, il trouve un talkie-walkie, posée sur une affiche à moitié pliée, il peut y lire : "Joignez la milice orthodoxe .Ensemble purgeons Chernarus de la présence du malin, de l'ogre communiste, des hordes barbares et rendons à notre pays sa dignité." C’est décidé, il allume sa radio et tente de joindre l’auteur de ce message.