Prénom : Arnošt
Nom : Králová
Age : 32 ans
Caractère : Curieux, acharné, patient, calme, droit
Ancien métier : Reporter de Guerre, journaliste politique indépendant
Nationalité : Citoyen de Chernarus
Genre : Homme
Compétence : Investigation, permis de conduire, photographie, rédaction, dialogue, survie, n’a jamais touché une arme de sa vie
Histoire :
Né le 4 Juillet 1982 à l’hôpital militaire de Pavlovo, Arnošt Králová est le premier fils d’une fratrie de 3. Elevé par sa mère Blažena, professeure en droit à l’Université de Zelenogorsk et par son père Ladislav, Sergent-Chef au sein des Forces de Défense de Chernarus, il est dès son plus jeune âge un enfant calme, discret, introverti mais observateur. Il fait des études primaires anodines, est moyen au secondaire et ne s’illustre dans aucune matière. Cependant, avec l’âge et la maturité, il s’intéresse de plus en plus au monde qui l’entoure et à son fonctionnement. Dans la cour d’école, il s’insurge contre la brutalité de certains camarades de classe et reçoit coups et railleries en retour. Au lycée, il se trouve une passion pour la politique et un hobby de photographe.
En 2001, après une fin d’études en très nette amélioration par rapport à son cursus général, il entre sur concours à l’école de journalisme de Novigrad et s’illustre rapidement par sa passion et des résultats brillants. Très mauvais orateur, il est en revanche un bon rédacteur et démontre ses talents en matière de rédaction de notes, d’interview et d’investigation. Au cours de sa quatrième année à Novigrad, il contribue, avec plusieurs camarades de classe, à mettre au jour un réseau de prostitution local dans la banlieue de Novigrad après des mois d’enquête et de filature. En cinquième année, il est classé quatrième d’une promotion de cent et s’engage au Daily Chernarus comme reporter de la chronique politique.
Au cours de ses débuts de carrière, il est connu nationalement pour ses enquêtes dans les comptes de campagne du Syndicat de développement de Chernarus et ses tribunes assassines contre le système politique du pays, attaquant à la foi le SDC et le PCC avec une plume acide. Il est menacé de mort à plusieurs reprises et en 2008, un attentat à son encontre échoue de peu, le laissant blessé sur un lit d’hôpital. Lorsque la Guerre civile éclate en 2009, il est menacé par le gouvernement qui réprime toute critique trop virulente et devient Reporter de Guerre jusqu’en 2013 lorsqu’il rentre au pays.
Une année plus tard, il est dans sa maison Zelenogorsk lorsque la pandémie éclate et dévaste le pays. Il survit de peu à ses premières rencontres avec les infectés grâce aux réflexes acquis lors de sa carrière de Reporter de Guerre. Il rejoint la forêt et, constatant à chacune de ses excursions que villes, villages et hameaux sont touchés par la maladie, il reste sous le couvert des arbres pendant plusieurs mois, vivant de boites ramassées au cours de dangereuses expéditions en zone urbaine et d’un peu de chasse.
Lun 15 Juin - 23:50 par Invité