PrésentationPrénom : Max
Pseudo : xAm
Age : 28
Pays de résidence : Belgique
Expérience de jeu RP : Jeu sur table, quelques essaies sur wow, plus d’un an d’Altis Life (Rebelle, Policier, Civil), récemment quelque essaies sur TESO, tentatives désespérées sur DayZ.
Expérience de jeu : Gamers depuis toujours, longue liste de FPS, RPG, Stratégie, Gestion, etc…
Disponibilité : Je joue de temps en temps à DayZ, je viens voir les nouveautés au fur et à mesure, j’ai surtout hâte d’être à la sortie du jeu ^^
Objectifs sur DayZ Life : Trouver un serveur ou je vais pas me faire tirer dessus à chaque fois que je tente d'entamer une discussion :p. Je suis pas la pour tirer. Si non je vais sur CS, BF, ou autre !
Présentation RPNom : Hatfield
Prénom : William
Age : 32 ans
Nationalité : Canadien
Profession : PDG, bucheron
Traits de caractère : Calculateur, honnête, respectueux, proche de la nature et de Dieu. Ordonné et méticuleux, fait preuve d’une certaine sagesse. Autrefois un peu trop naïf relationnellement, ça l’a amené à être plus prudent voir parfois paranoïaque.
Compétences : Bucheron, études de marketing, service militaire Canadien.
Objectifs à court terme : Trouver un véhicule. Se loger et subvenir à ses besoins naturels. Trouver des compagnons de confiance.
Objectifs à long terme : Comprendre ce qu’il s’est passé. Rentrer chez lui.
Pour ne pas perdre la têteJe m’appelle William Hatfields et je suis originaire du Canada. Mon père était bucheron, j’ai appris l’art familial dès mon plus jeune âge mais très vite mon ambition surpassa celle de mes parents.
J’ai tout d’abord réussi à monter ma petite entreprise de bucheronnage. Avec quelques amis sous mes ordres, nous avons fait grandir notre organisation pour devenir les premiers exportateurs de bois du continent Nord-Américain.
Il y a quelques temps, je ne saurai plus dire combien, nous nous sommes mis à la recherche de nouveaux terrains à exploiter. C’est pendant ces recherches que nous avons entendu parler de cette région pommée entre l’Europe de l’est et l’Asie, Chernarus. Ces territoires avaient beaucoup de points positifs à nos yeux : de la main d’œuvre bon marché, des forêts abondantes et une législation facilement malléable. Nous avons donc pris contact avec les exploitants locaux et nous avons fixés un rendez-vous. J’ai décidé de faire le voyage moi-même …
Quand l’avion a atterri et que nous en sommes descendus, il faisait nuit et l’aéroport militaire semblait désert. Nous étions une 10aine de passagers et tout le monde trouvait ca anormal, ce qui était plutôt rassurant. Le pilote est alors allé chercher la seule arme qu’il y avait à bord, un vulgaire pistolet, et nous l’avons suivi en direction de la tour de contrôle en rang serrés derrière son dos.
Au bout d’à peine quelques pas, un bruit que je n’avais encore jamais entendu a rompu le silence, un peu comme le gémissement d’un homme malade. Aussitôt, un couple s’est séparé du groupe. J’ai tenté de les suivre du regard et quand mes yeux se sont habitués au manque de lumière, j’ai vu des ombres se jeter sur … les deux malheureux. On a entendu des cris d’effrois et puis plus rien.
On s’est tous mis à courir vers la tour de contrôle et quand on a ouvert la porte … c’est là que j’en ai vu un pour la première fois. Il était en train de se repaitre des entrailles d’un cadavre étendu au bas des escaliers. On l’a regardé faire jusqu’à ce qu’il se retourne, et que l’on contemple son visage déchiqueté. La panique s’est alors emparée de plusieurs d’entre nous … moi y compris. J’ai pris mes jambes à mon coup et j’ai rejoint l’avion. J’ai été le seul à le rejoindre… et à l’heure actuelle, je ne sais toujours pas ce que sont devenus les autres.
Après quelques jours, j’avais épuisé le stock de nourriture de l’avion et il a fallu que je sorte … je m’y étais préparé … 2 bouteilles d’eau, les quelques barres chocolatées qu’il me restait, des vêtements et des chaussures de rechange, une couverture de survie, quelques piles et une lampe torche, une montre et une trousse de soin, un talkie-walkie et ma saleté de bible… tout ça compacté dans un sac à dos emprunté aux passagers. J’ai passé ma dernière nuit « sereine » et à l’aube d’un matin pluvieux je suis sorti de l’avion. Ça fait maintenant des semaines, peut-être des mois que je l’ai quitté, j’ai arrêté de compter. Je n’ai croisé que peu de gens depuis et je ne me suis approché d’aucun. Pourtant un peu de compagnie me ferait sans doute du bien… mais je n’arrive pas à leur faire confiance… Je ne sais pas combien de temps je tiendrai encore le coup …
J’écris cette lettre pour ne pas me perdre… pour ne pas oublier comment j’en suis arrivé là … J’espère toujours qu’il n’y a que cette région qui a été touchée… que de l’aide arrivera bientôt… le vol n’avait duré qu'une dizaine d'heures , le monde n’a pas pu s’écrouler durant le trajet… Et surtout que sont ces choses ? Des morts-vivants ? Ou autre chose? J’ai toujours l’espoir que quelques part des gens sont surement en train de chercher des solutions et que mes parents ne sont qu’en train de s’inquiéter et qu’ils vont bien… en attendant je me déplace sans arrêt, toujours à la recherche de vivre et d’abris pour la nuit… il faut que je tienne.
William « Cap » Hatfield
Jeu 18 Déc - 7:27 par Invité